Interviewer:
Bon, commençons. Quand as-tu commencé?
Ran: En Juillet dernier.
Interviewer: Qu’as-tu
fait avant de faire tes débuts?
Ran: J’ai quitté le Jr
College avant de commencer à faire ça.
Interviewer: Pourquoi
donc avoir décidé alors de devenir une actrice porno?
Ran: Et bien, je voulais
étudier pour avoir un salaire décent, mais ce n’est pas possible en ayant un
travail de 9h à 17h, pas vrai? Alors j’ai choisi le porno.
Interviewer: Mais
d’abord, tu as été scoutée pour ça, n’est-ce pas?
Ran: Non, j’ai trouvé où
étaient les bureaux et je me suis vendue par moi-même.
Interviewer:
Sérieusement? C’est plutôt rare que quelqu’un vienne de lui-même pour faire ça.
Je veux dire, je comprends ton besoin de faire de l’argent, mais je suis sûr
qu’il y a pour ça d’autres moyens.
Ran: Oui. D’ailleurs j’ai
travaillé dans des clubs pendant un moment, mais je n’y supportais pas les
gens. Pareil avec les maisons de passé.
Interviewer: Je vois.
Alors je suppose qu’après, le porno est la suite logique.
Ran: En fait, je pensais à
faire du strip dancing juste avant d’aller dans ce bureau.
Interviewer: Quoi, Ran
Asakawa a fait du strip avant ses débuts dans le porno? Mais qu’est-ce que t’y
a amenée?
Ran: Et bien, tu n’as pas
vraiment de client quand tu fais du strip.
Interviewer: Oh, je
vois. Tu dois vraiment être mauvaise avec les clients, alors. Mais tu es
vraiment montée sur scène, et tout le reste.
Ran: Non, je suis allée
dans un club qui faisait ça et j’ai demandé les heures, mais c’était juste trop
long. Je me suis dit que j’étais mieux à simplement travailler dans le club, et
j’ai fait machine arrière.
Interviewer: Pourtant,
tu ne pensais pas pouvoir tomber sur un home riche, et te caser?
RanAhhh – Je n’ai pas
pensé à cette possibilité (rires).
Interviewer: N’importe
comment, combine de vidéos as-tu fait jusqu’à maintenant?
Ran: Ca doit faire aux
alentours de 100.
Interviewer: Hé! C’est
plus que je ne pensais. Tu en as fait autant?
Ran: Il y en a beaucoup où
il y a une autre fille, et il y a des vidéos qui mélangent diffèrent extraits.
Interviewer: Je vois.
Et celles où tu es la seule vedette?
Ran: Uhh...environ 10, je
pense.
Interviewer: C’est
trop peu!! Je pensais que une fois arrivée là où tu es arrivée, ils te
proposeraient plus de vidéos en vedette...mais peut-être que je me trompe?
Ran: Et bien, j’ai signé
pour faire régulièrement des videos, c’est plutôt comme cela que ça marche.
Interviewer: Hmm. Mais
tu es très jolie, maintenant que je te vois comme ça (aussi près), alors c’est
difficile d’imaginer pourquoi ils ont décidé de ne te mettre que sur ces
vidéos.
Ran: Je devine que c’est
parce que, au moment où j’ai signé, il y avait d’autres filles jolies et plus
jeunes.
Interviewer: C’est
vrai qu’il y a cette aura autour de toi qui te rend d’emblée Presque
effrayante. Ton visage est plutôt grand, aussi.
Ran: A t’écouter on dirait
que je suis une sorte de monstre (rires).
Interviewer: Et puis,
même Ai Nagase a commencé comme une vedette moins importante avant de faire sa
percée. Peut-être que c’est ce qui t’arrive maintenant. Il y a beaucoup de tes
vidéos qui sortent en ce moment.
Ran: Oui, je suis très
contente car je commence à gagner en popularité. Pourtant, je ne fais que mes vidéos
régulières. Donc j’ai le sentiment que je suis limitée en même temps.
Interviewer: Comme c’est bizarre.
Ran: Et bien, je ne suis
pas vraiment une bonne comédienne.
Interviewer: Je pense
qu’être aussi belle que tu l’es devrait suffire.
Ran: Oh, je ne suis pas
aussi jolie que ça (rires). Mon estomac ressort un peu, et j’ai un vrai gros
complexe à propos de mon visage.
Interviewer: Sans
plaisanter! Pourquoi? Es-tu stupide? Qu’est-ce qu’il a ton visage?
Ran: Tout le monde me dit
que j’ai vraiment l’air bizarre quand je m’énerve. Une des filles avec qui j’ai
récemment travaillée était tellement curieuse à propos de ça qu’elle a demandé
à l’équipe de s’assurer que j’allais bien.
Interviewer: Oh ,
allez! Tu parles des expressions de ton visage, pas de ton visage en lui-même.
Ran: (rires) N’empêche, je
n’aime pas mon visage.
Interviewer: Hmmm,
donc j’imagine que tu es l’ennemie de toutes ces filles pas si jolies qui
arrivent. Je veux dire, tu es destinée à ce que certains te trouvent laide,
quoique tu sois jolie ou mignonne. Je parie que tu n’as jamais vécu ça.
Ran:
Et bien, j’ai entendu “Il y a ton estomac qui
sort” plusieurs fois (rires)
Interviewer: Ok, tu
dois plutôt susceptible pour remarquer ça. J’aime qu’il soit plutôt agréable à
regarder, sexy en fait. N’importe comment, je doute que tu prennes en compte
mes plaints sur ton physique.
Ran:.
Hmm, vraiment. Ouah.
Interviewer:
Comment ça, “ouah”? Je parie que tu étais vraiment populaire à l’école.
Ran: (surprise) Quoi? Je
n’étais pas du tout populaire. Je suivais à l’école, alors mes cheveux étaient
courts, ma peau foncée, et je pesais 10kg de plus.
Interviewer : Je
vois...et bien, il y a beaucoup de gens plutôt jolis dehors qui ne semblent pas
se rendre compte de ça. La première fois que je t’ai vu à l’écran, c’était une
de ces vidéos de Dream Chat et je me souviens encore avoir été totalement
captive quand tu es apparue. A ce moment, je suis devenu ton grand fan...et
c’est pour cela que tu es là maintenant.
Ran:
Merci! (elle me serre la main) Ma chatte est très reconnaissante pour ce
soutien (rires).
Interviewer:
(rires) Tu aimais le sexe avant de commencer ce travail?
Ran:
C’est un secret (rires). Oui, j’aime le sexe.
Interviewer: C’est ce
que je pensais. Je veux dire, c’est le sentiment que j’ai quand je regarde ton
travail. J’ai remarqué qu’il a a beaucoup de scènes poussées dans tes films.
Comment tu te sens à ce propos?
Ran: Et bien, tu sais
commet ça fait quand c’est le cas qui me baise qui tiens la caméra, pas vrai?
On doit arrêter à chaque fois qu’ils doivent changer l’angle de prise de vue,
alors c’est plutôt énervant.
Interviewer:
Ca fait retomber la tension?
Ran: Oui. Enfin, c’est une
bite dans ma chatte, donc, bien sûr, ça me fait du bien. Alors si ils arrêtent
en plein milieu, ma chatte commence à avoir vraiment froid. Elle pleure “remets-moi cette bite à l’intérieur”
(rires)
Interviewer: Je vois.
Donc j’imagine que le réalisateur s’arrête parce qu’il fait comme il l’entend,
mais que vous ne communiquez pas beaucoup.
Ran:
Et bien, en général je trouve mon plaisir à la fin.
Interviewer:
...ce qui voudrait dire que le plus souvent tu apprécies le sexe que tu
pratiques à l’écran.
Ran:
Et bien, ma chatte se sent bien avec. (rires) Uh, je peux desserrer un peu ma
ceinture?
Interviewer: Quoi?
Ran:
Je viens de manger, alors mon estomac est plein.
Interviewer:
Oh, vas-y. Hé, justement, je peux jeter un oeil sur ton estomac?
Ran:
Je ne montre pas mon corps nu, sauf pour la camera.
Interviewer:
Montrer ton ventre, ce n’est pas pareil qu’être nue.
Ran: Hmmm...Ok, mais juste 2 cm. Voilà (elle
montre son estomac un petit peu)
Interviewer:
Ohhh! C’est l’estomac de Ran Asakawa en live! Je suis si content!
Ran:
Tu es dingue (rires).
Interviewer: Et je le
sais. Au fait, je vois beaucoup d’action hardcore quand je te vois, mais à propos
des baisers?
Ran:
J’aime embrasser, mais je ne sais pas tant que ça faire les French kiss.
Interviewer: Really? But you do it all the time on
camera. Vraiment?
Mais tu le fais tout le temps devant la camera.
Ran:
Ben, c’est vrai, mais...c’est comme le sexe. Ca depend d’avec qui je le fais.
Interviewer:
Comme ton petit ami?
Ran:
Je n’ai personne maintenant (rires). Je n’ai pas beaucoup de chance avec les
hommes.
Interviewer:
Oh, vraiment? Super. J’espère que tu vas rester comme ça.
Ran:
Oh, arête (rires). Je veux un mec!
Interviewer:
Vraiment? Et pourquoi pas moi?
Ran:
Continuons l’interview.
Interviewer: Ah oui,
je me demandais ça depuis longtemps, mais j’ai remarqué que tu n’as aucun problème
à admettre dans les magazines que tu fais du porno, mais les gens autour de toi
sont-ils au courant?
Ran:
Presque tout le monde, sauf mes parents.
Interviewer:
Et ça te va?
Ran: Parfaitement. Je
pense que c’est normal. En fait, je suis plus perplexe sur les gens qui pensent
du mal de ces choses-là.
Interviewer:
Quoi? Tue s sérieuse...? Et si tes parents savaient?
Ran: Je ne m’en fais pas
trop. Je veux dire, je suis une adulte maintenant, et j’ai choisi ce travail de
ma propre volonté. Bien sûr, je sais qu’ils seraient vraiment en colère s’ils
le découvraient, mais je ne pense pas que cela m’affecterait de quelque manière
que ce soit.
Interviewer: Oh,
vraiment? Ouah. Mais je parie que les gens qui savent te pointent du doigt dans
ton dos.
Ran: C’est vrai. Il y a
des gens comme ça. Bien sûr, je suis contre ce genre de comportement, mais je
m’en moque un peu s’ils ne comprennent pas ma position et, en fait, je suis
satisfaite si les gens qui comptent pour moi comprennent. Il n’y a aucune
raison pour les gens avec qui je ne suis pas amie d’essayer de me comprendre.
Interviewer: Hmm, on
dirait plus une façon de penser étrangère, que japonaise. Tu as toujours été
comme ça?
Ran: Et bien, c’est avec
le temps que je l’ai realise (rires). Je veux dire, il y des façons de penser
communes avec lesquelles je suis en phase, mais je pense que la plupart sont
des conneries. Je ne vois pas pourquoi je devrais suivre les conseils des
autres personnes sur comment je devrais vivre ma vie. N’importe comment, je ne
préoccupe pas vraiment de savoir si d’autres personnes découvrent que je fais
du porno.
Interviewer:
Alors quelle était ton impression sur l’industrie du porno avant d’y entrer?
Ran: Et bien, je ne
pensais pas être capable de me metre à poil pour la camera, et d’avoir la bite
d’un gars quelconque dans la chatte quand je voyais ça. Mais après que je l’ai
fait, c’était du genre “Hé, ce n’est pas si dur que ça, après tout!” (rires)
Interviewer: C’est comment de baiser devant d’autres
personnes?
Ran: Génant (rires). C’est
agréable, mais toujours embarrassant. Je pense que tu l’as remarqué si tu
regardes mes vidéos, mais mes yeux sont toujours fermés quand je baise. Bien
sûr, je suis encore plus gênée quand tout est fini.
Interviewer: Tu es
considérée comme une actrice porno populaire, maintenant, mais comment c’était
quand tu as commencé?
Ran: Comme je l’ai dit
avant, quand j’ai commencé le style de fills à la mode était les Lolitas. Je
fais plutôt adulte, alors il n’y avait pas beaucoup de travail pour moi au début.
Je pense n’avoir fait qu’environ 10 vidéos les 6 premiers mois. J’étais
impopulaire ce point (rires).
Interviewer:
Tu étais toujours à l’aise alors avec le fait de baiser devant une caméra?
Ran: Oui. Je veux dire,
les pornos sont comme ça. Je me rappelle pourtant avoir fondu en larmes après
mon premier tournage. Je me demandais ce que je me faisais à moi-même.
Interviewer:
Mais tu n’a pas pensé à arrêter.
Ran:
Non. Ce n’était pas vraiment une question de savoir si le travail était dur
pour moi.
Interviewer:
Alors tu as commencé à te taper des mecs, par la suite.
Ran: Bien sûr. Je veux
dire, ils vont me baiser de toute façon, faisons en sorte qu’au moins
j’apprécie! Maintenant, je me fais baiser à peu près tous les jours (rires)
Interviewer: Passons à
ta vie privée. A quel âge as-tu couché pour la première fois, et avec qui?
Ran:
A 19 ans, dans un love hôtel. C’était avec un employé de bureau avec qui je
sortais à l’époque.
Interviewer:
Peux-tu préciser ce que tu as fait avec lui?
Ran: Et bien, nous avons
pris notre douche séparément, et puis nous sommes allés sur le lit et on a commencé
à s’embrasser. Ce n’était pas vraiment hardcore à ce moment. (rires) Puis il a
utilisé ses deux mains pour malaxer mes seins, et il les a sucés après. Puis sa
langue est descendue lentement le long de mon corps jusqu’à finalement arriver
entre mes jambes. Puis il a écarté les lèvres de ma chatte, et a regardé
dedans.
Interviewer: But wouldn't the lights have been off by
then? Mais
les lumières n’étaient pas éteintes.
Ran: Exactly. He actually got out a lighter to see
inside me. Il a utilisé une petite
lampe pour voir dedans.
Interviewer: Je vois.
Ran: Donc, dans la
pénombre...ma chatte était la seule chose que l’on pouvait voir. (rires) Puis
il a léché mon clitoris, et ma chatte jusqu’à c que ça devienne agréable et
mouillé. Bien sûr c’était ma première fois donc c’était du genre “Ahhh...ne
lèches pas, je vais faire pipi” (rires). Il a ensuite introduit lentement son
doigt à l’intérieur pour voir comment c’était dedans. Après un petit moment, il
a commencé lentement à pousser ses doigts dedans. Je lui ai dit que j’allais me
mettre sur lui donc je me suis mise sur lui et j’ai commencé à lécher ses
tétons. Puis j’ai touché sa bite et j’ai remarqué qu’était était déjà vraiment
dure. Bien sûr, il n’y a qu’une raison pour laquelle une bite durcit, n’est-ce
pas? (rires) C’est à ce moment que j’ai sucé une bite pour la première fois.
Interviewer:
C’était comment?
Ran: Et bien, la seule
chose que j’avais à l’esprit était un article sur le sexe dans un de ces
magazines féminins qui disait “Faites attention à ce que vos dents ne touchent
pas le pénis de votre petit copain quand vous faites une fellation” (rires).
Quand j’ai commencé à le faire, mon copain m’a dit “Attention à ne pas mettre
les dents” alors j’ai realise à quel point l’article était juste (rires). Donc,
je l’ai surtout sucé avec mes dents caches derrière mes lèvres.
Interviewer:
Comment t’es-tu sentie après?
Ran: Et bien, d’abord,
j’avais un doute pour savoir si sucer l’endroit où tu pisses pouvais te faire
du bien, mais il m’a dit qu’il aimait ça, ce qui m’a rendu incroyablement
heureuse. Mais sa bite était vraiment grosse, et mes mâchoires on commence à me
faire mal après un petit moment (rires).
Interviewer:
Au fait, tu as léché le truc qui pend en dessous?
Ran: Et bien, je ne savais
pas grand-chose du sexe à l’époque, je savais que se faire sucer faisait du
bien mais je ne savais pas que c’était aussi valable pour les couilles. C’est
pour ça que je lui ai pas sucées. En tous cas, après que je l’ai sucé un petit
moment, il m’a dit qu’il était prêt à me la mettre, et on a fini de baiser dans
la position du missionnaire.
Interviewer:
Tu te sentais comment quand il était dedans?
Ran: Il y est allée cool avec
moi car il savait que c’était ma première fois, mais il ne pouvait cacher le
bien que ça lui faisait à la bite, et il a commencé ses allers et retours. Ça
m’a vraiment fait mal quand il m’a pénétrée jusqu’au fond, mais j’ai fermé les
yeux et j’ai essayé d’évacuer la douleur.
Interviewer:
Ca
t’a pris combine de temps pour aimer le sexe?
Ran: Environ la 10ème fois
qu’on l’a fait. Ma chatte n’était plus si serrée et elle commençait à mouiller
naturellement, alors sa bite pouvait rentrer beaucoup plus facilement. Mon
point G est près de mon utérus, alors ça me fait toujours jouir quand sa queue
le frotte. Mon clitoris est aussi suffisamment sensible pour que je jouisse,
mais quand il ne fait que le lécher. C’est entièrement de sa faute si mon corps
pur s’est transformé en un corps super cochon (rires).
Interviewer:
Alors,
dans ta vie privée, avec combine de personnes as-tu baisé?
Ran: Ummmm, peut-être une centaine? Je
n’ai pas de petit ami maintenant pourtant, alors maintenant, la plupart de mes
séances de baise viennent du travail.
Interviewer:
Que
veux-tu faire à partir de maintenant?
Ran: Et bien, je sais que je
ne pas faire du porno pour toujours, alors j’étudie pendant mon temps libre,
pour que je puisse trouver un job après ça. Mais le travail m’a apporté
beaucoup de fun, donc je veux continuer au moins encore un an.
Interviewer:
Qu’est-ce
qu’il y a de fun dans le job d’actrice porno?
Ran: Et bien, je fais
beaucoup de choses quand je fais du porno, et le travail est différent d’un
jour à l’autre. Je déteste faire la même chose tous les jours (rires), mais le
travail que je fais me permet de changer d’endroit à chaque fois, et ce genre
de trucs. Je suis même amenée à expérimenter des choses que je ne ferais pas au
quotidien normalement...comme le bondage! (rires) Alors, dans ce sens, ce job
est très fun.
Interviewer:
Et
qu’est-ce que tu n’aimes pas dans le fait d’être sous les projecteurs?
Ran: Et bien, la chose que je
déteste le plus, ce sont ces gens qui me flattent, même si ils pensent
complètement le contraire. Oh, ça et les autres filles sur le plateau.
Interviewer:
Ça
te contrarie?
Ran: Non, ce n’est pas une
question de les aimer ou pas. C’est
juste que je ne m’intéresse sexuellement qu’aux hommes, alors je suis mal à
l’aise quand il y a une autre fille sur le plateau, si elle ne fait rien.
Interviewer:
Pourrais-tu
faire une scène lesbienne, ou vous vous léchez la chatte mutuellement?
Ran:
Ahhh!! Pas
question! Je passe mon tour! Je ne veux même pas y penser.
Interviewer:
T’entendre
me dire ça me donne encore plus envie de te voir le faire.
Ran:
Ca
n’arrivera pas.
Interviewer:
Finalement,
que ferais-tu si tu devais baiser avec moi pour le travail?
Ran:
Et
bien, si c’est pour le travail, je le ferai avec toi.
Interviewer: Le “Si c’est pour le
travail” me va, mais je vais m’assurer d’acheter plus de tes vidéos à partir de
maintenant.
Ran: Maintenant rentre chez toi (rires)