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lundi 19 décembre 2011

YUKARI SAKURADA

Actrice mature talentueuse et expérimentée, Yukari Sakurada a de nombreux fans au Japon. Ecoutez ce que cette femme extrêmement élégante a à dire sur sa carrière.
Interviewer: Le premier film avec toi que j’ai vu était une histoire de femme au foyer de WildSide. Je me rappelle avoir été surprise de voir à quell point tu semblait belle et intelligente.

Yukari Sakurada: Tu es sérieux là? (rires)

Interviewer: Bien sûr que je le suis. Pourquoi penses-tu que j’ai demandé que ce sois toi qui vienne en premier de ici? Tu ne peux même pas imaginer le nombre de fois où j’ai lâché l purée en te voyant baiser.

Yukari Sakurada: Vraiment!? Merci! Quand je travaille, je le fais toujours en pensant à la satisfaction de mes fans. C’est pourquoi je n’aime pas faire semblant (rires).

Interviewer: Une vraie actrice X, en effet. Et bien, débutons cette interview. A quand remontent tes débuts?

Yukari Sakurada: Ca fera 2 ans en juin. Je me promenais dans Shinjuku quand un ‘scout’ est venu vers moi avec une offer. Je suis bonne, non?

Interviewer: Je l’admets, mais tu dois admettre que c’est comme ça que la plupart des gens débutent.

Yukari Sakurada: Vraiment? En tout cas, je marchais avec une amie à ce moment..oh, j’avais 29 ans alors.

Interviewer: Pourquoi as-tu accepté l’offre?

Yukari Sakurada: Et bien voyons...il y a le fait que je n’avais pas une mauvaise opinion sur le porno en général, mais j’étais si flattée d’être ‘scoutée’ que je juste suivi le mouvement, en quelque sorte. Je veux dire, tu sais que le plupart des ‘scouts’ ne commencent pas en disant aux filles qu’il travaille pour une boite de production de porno, n’est-ce pas? Mais je déteste vraiment les gens qui ne vont pas directement au but, alors quand il a commencé à me demander comme je me sentais par rapport au sexe et des trucs de ce genre, je lui ai juste dit “Oh, tu fais du porno.” (rires) Je savais que la plupart des filles ne feraient pas de porno, alors je me suis en quelque sorte sentie oblige d’en faire un juste pour prouver que j’étais différente (rires). En plus, je pensais que le porno était quelque chose que je pouvais abandoner à tout moment.

Interviewer: Tu sais, tu ne m’a toujours pas dit ce que l’amie à côté de toi faisait à ce moment.

Yukari Sakurada: Je sais, je sais. C’est à ce moment que j’ai découvert que mon amie avait fait du porno dans le passé.

Interviewer: Tu ne le savais pas jusque là?

Yukari Sakurada: Non. J’ai commence à parler avec le ‘scout’ et, après que je lui ai dit que je le ferai, elle m’a dit soudainement “J’ai fait des porno savant, ce n’est pas dur, alors tu devrais essayer”.

Interviewer: Je vois. La plupart des amies s’opposeraient à ce que quelqu’un qu’elles connaissent fasse du porno, mais elle l’a accepté parce qu’elle avait vécu l’expérience dans le passé. Tu sais, ce scout est un mec plutôt chanceux.

Yukari Sakurada: J’imagine que tu peux dire ça comme ça (rires)

Interviewer: Oh, et, comme je suis un fan, la loi m’oblige à te demander quell était le nom de scène de ton amie.

Yukari Sakurada: Hmm, je ne sais pas vraiment. Mais elle est mignonne et tout, donc je suis sûr qu’elle a du être plutôt populaire à l’époque.

Interviewer: Mais il n’y a aucun moyen de verifier sans le nom! (rires) Alors, comment les autres gens ont réagi quand ils l’ont découvert?

Yukari Sakurada: Et bien, à peu près tous les autres étaient contre. Un certains nombre de mes amis homes m’ont supplié d’y réfléchir à 2 fois. Mais je considérais que faire du porno cétait comme faire un autre travail, alors je leur ai demandé de ne plus m’appeler si ils ne pouvaient pas comprendre ça. (rires)

Interviewer: Je vois. (rires) Alors, comment s’est passé ton premier tournage? Etais-tu nerveuse?

Yukari Sakurada: Oui, il y avait de ça, mais l’excitation d’être là l’emportait. Je veux dire, tu sais que l’ensemble de l’équipe est compose de mecs, et qu’ils sont tous sur la scène avec toi. Rien que de penser à tous ces mecs matant ma chatte se faire défoncer par la bite d’un mec faisait mouiller mon ego narcissique (rires). J’étais dans mon humeur “Je vais donner mon meilleur!” (rires).

Interviewer: Alors tu n’étais pas plus génée que ça?

Yukari Sakurada: Je l’étais, mais je ne cessais de me dire que “c’est génant de penser que tu es génée”, et j’ai réussi en quelque sorte à dépasser ça.Il y a tous ces gens qui bossent dur pour faire un bon film, alors je ne pouvais pas être la seule qui ne donne pas de son mieux, pas vrai? Le réalisateur et les acteurs m’ont aussi aidée à me calmer durant le tournage.

Interviewer: Mais toutes les images de toi baisant avec des mecs vont devenir une vidéo et être regardées par des homes partout dans le pays. Que pensais-tu de ça?

Yukari Sakurada: Je me figurais que si une vidéo de moi devait sortir, autant travailler dur pour que plus de gens puissant la regarder. C’est quand j’ai commence à penser que je continuerai à faire ce travail aussi longtemps que je le pourrai. J’imagine que c’est quelque chose qui te vient une fois que tu as commence à travailler.
Aussi, la personne qui m’avait ‘scoutée’ est devenue nerveuse parce que j’avais accepté tellement facilement. En fait, il est venu me voir pour me dire de prendre ce travail sérieusement! J’étais genre “Bien sûr que je le ferai! La parole d’une femme est aussi forte que celle d’un homme!” (rires) On m’a dit également que la plupart des actrices démissionnent après 3 mois. Et bien...j’imagine que la plupart d’entre elles craquent, mais je voulais prouver que je pouvais durer plus longtemps que ça.

Interviewer: Au final, comment s’est passé ton premier tournage?

Yukari Sakurada: Définitivement un peu étrange. L’équipe dormait sur place pendant le tournage, alors on a du se séparer après le tournage, donc j’étais un peu triste quand ça s’est terminé. C’est quelque chose que je ressens à chaque fin de tournage, surtout si le tournage s’est très bien passé. Je veux faire une fête quand le tournage se finit.

Interviewer: Vraiment? J’ai réalisé des films X, et je ne me souviens d’aucune actrice demandant ça après la fin d’un tournage.

Yukari Sakurada: Je suis le genre à suggérer des choses comme ça. Je dit habituellement “Allons boire un verre après ça” quand on est sur le point de tourner la dernière scène.

Interviewer: Je parie que le staff pense “Elle fait juste son intéressante”.

Yukari Sakurada: Oh, je ne suis pas comme ça du tout. Je suis sérieuse.

Interviewer: Vraiment? Ils ont de la chance, alors. Donc, combien de films as-tu fait jusque là?

Yukari Sakurada: Ohh, un peu plus de 200.

Interviewer: Es-tu contente d’avoir commencé le porno?

Yukari Sakurada: Et bien, ces deux fois où je vais être dans un film soft étaient agréables. C’est toujours sympa de changer un peu d’air. Oh, et mon premier CD que je vais faire m’excite réellement.

Interviewer: Hein? Quel premier CD?

Yukari Sakurada: Oui. J’ai fait les enregistrements il y a peu, en fait. Je pensais au depart qu’ils plaisantaient, mais en fait c’était vrai. Je chanterai en duo avec Kawana Mariko et le genre de chansons que je chanterai sera...de la musique d’ambiance (rires).

Interviewer: (rires). C’est sensé.

Yukari Sakurada: N’est-ce pas? (rires) Il faudra que j’en achète un exemplaire quand il sortira (rires).

Interviewer: Hmm, je peux voir une jeune fille faisant son premier CD, mais c’est plutôt surprenant pour une femme de ton âge. Et bien, j’imagine que cela montre juste combien tu es devenue populaire. Question suivante. Il y a-t-il quelque chose dans ce milieu que tu n’aimes pas?

Yukari Sakurada: Bien, ce n’est pas réellement le problem de ce travail en soi, mais le fait que j’aime qu’on me donne une entire explication avant de faire quoique ce soit. J’ai des problems avec les réalisateurs qui me demandent juste de suivre les orders sans me donner de raison. J’ai l’impression de n’être pour eux qu’un morceau de viande. Cela veut probablement dire qu’il a un certain nombre de réalisateurs qui ne m’aiment pas.

Interviewer: Oui, il est toujours meilleurs de s’exprimer. Bien sûr, chaque réalisateur a son propre style.

Yukari Sakurada: C’est vrai. Pourtant, je veux travailler d’une manière avec laquelle je sois à l’aise. Comme faire des films de sperme. Je ne fais pas de scène où je dois metre du sperme sur la nourriture, puis manger, ou en boire beaucoup d’un seul coup. Ce n’est pas quelque chose que je ne peux pas faire, mais juste que je ne veux pas faire. Je preéfèrerais lecher chaque jet de sperme un par un. C’est quelque chose que tous les réalistaurs n’aiment peut-être pas, mais j’ai ma propre façon de faire les choses.

Interviewer: Question suivante. Quand as-tu perdu ta virginité?

Yukari Sakurada: Quand j’ai eu mon bac, dans la maison de mon petit copain.

Interviewer: C’est arrivé comment?

Yukari Sakurada: On travaillait tous les deux dans le même magasin, et il m’arrivait de finir chez lui quand nous étions tous sortis boire.

Interviewer: Quel job faisais-tu à cette époque?

Yukari Sakurada: Je travaillais à la piscine. Mes tétons pointaient sous mon maillot de bain de maitre nageur. (rires)

Interviewer: Oooh, ça sonne sexy.

Yukari Sakurada: N’importe, on étais saoûls tous les deux, et on étais dans on appartement.

Interviewer: As-tu pensé que tu ferais l’amour quand tu es entrée?

Yukari Sakurada: Bien sûr. Nous savions tous les deux ce qui allait se passer quand on est entré dans la pièce. (rires) Il était tard, et on s’est dit “Bonne nuit” quand si nous allions dormer, mais notre respiration à tous les deux était tellement rapide (rapide). On a éteint toutes les lumières, on s’est allongés sur le futon et le seul son qu’on entendait était celui de notre respiration...nos coeurs s’emballaient. Mon petit copain a attrapé ma main, et j’ai touché son corps...et bien, c’est à peu près le signe du OK là.

Interviewer: Et ça a commencé comment?

Yukari Sakurada: Aucun de nous n’avait d’expérience à cette époque, alors on a commencé à se peloter. On s’est embrassés, puis il a toiché ma poitrine...oh, j’étais passive avant.

Interviewer: Avant? Ca veut dire que tu est différente maintenant? (rires)

Yukari Sakurada: Oui, oui, je ne rêverais même pas d’agir comme ça maintenant (rires). La façon don’t mon petit ami m’a touché n’était pas si genial, mais je peux dire qu’il se préoccupait vraiment de moi.

Interviewer: Je devine que tu ne pouvais pas voir son visage dans le noir, hein?

Yukari Sakurada: Oui..j’avais aussi le futon sur moi. N’importe, ses mains sont descendues lentement le long de mon corps, et ont touché ma chatte (alors) fraîche (rires). Je ne pense pas qu’il savait vraiment comment la toucher pour me donner du plaisir, mais j’ai quand même mouillé en pensanr que j’étais sur le  point de perdre ma virginité. Après avoir touché ma chatte, il est allé directement au but et a essayé de me mettre sa queue. Ni l’un ni l’autre n’étions en mesure d’apprécier des preliminaries. Pourtant, c’était aussi la première pour lui, alors il ne savait pas dans quelle trou la metre. Il était nerveux aussi, alors sa bite n’était pas complètement dure (rires). Le bout de sa queue était toujours mouillé pourtant.

Interviewer: Comment as-tu été capable de voir ça?

Yukari Sakurada: Sa queue molle frottait contre mes cuisses, et un peu de liquide s’est déposé. N’importe, il n’a pas pu metre de preservative parce qu’elle était encore molle, mais il n’a pas pu me demander de lui faire durcir, alors il a commence à se branler. J’étais derrière lui tout ce temps, à attende que sa bite soit dure.

Interviewer: Alors, il a bandé à la fin?

Yukari Sakurada: A peine. (rires) Mais il a quand même réussi à la mettre dans ma chatte.

Interviewer: Et ça t’a fait comment?

Yukari Sakurada: On est allé très lentement parce que c’était notre première fois. Comme elle n’était pas complètement dure, il a du forcer un peu pour entrer. Ca ne veut pas dire que ça n’a pas fait mal. N’importe, la mission fût un success (rires). On l’a fait dans la position du missionnaire, et bien que la pièce était sombre, mes yeux se sont peu à peu habitués à cette obscurité, donc j’ai pu au bout d’un moment voir mon petit copain faire de son mieux pour aller et venir en moi. Il a continuer à aller et venir comme si il était determine à décharger en moi. Quand il a déchargé, il a tellement joui que le sperme s’est échappé du preservatif. Tu sais, je pense que c’est pourquoi je préfère baiser avec une capote plutôt que sans. Tu sais que la capote grandit quand il y a le sperme dedans, pas vrai? J’aime ce sentiment (rires). Surtout quand mon partenaire et moi on jouit en même temps. J’aime voir le moment où l’homme jouit, alors je préfère qu’ils jouissent dans ma bouche plutôt que sur mes seins ou mes cuisses.

Interviewer: Alors comment t’es-tu sentie après ça?

Yukari Sakurada: J’étais heureuse, mais ça m’a fait tellement mal que j’ai pleuré. Mais, pour une raison que j’ignore, je n’ai pas du tout saigné. Une des filles de la piscine m’a dit plus tard que mon petit copain a commence à penser que j’avais déjà baisé avant de le faire avec lui à cause de ça. Entendre ça m’a vraiment mis en colère. Je veux dire, si il avait quelque chose à dire, il aurait du me le dire en face. Et bien, malgré ça, on est encore sorti longtemps ensemble après ça.

Interviewer: Vous prévoyiez de continuer d’avoir des rapports?

Yukari Sakurada: Oui. Etre capable de faire que mon copain se sente bien me rendait plus heureux que tout autre chose. J’ai commencé à ressentir du plaisir pendant le sexe vers la quatrième fois qu’on l’a fait. C’est là que j’ai commencé à aimer le sexe. On l’a fait quelquefois 10 fois par semaine. On l’a fait quelques fois quand je suis allée dormer chez lui, et on baisait à nouveau quand on se réveillait. Je veux dire, tu commences à savoir comment faire plaisir à ton partenaire après l’avoir sauté quelques fois. Donc, en fait, il savait quoi faire quand je lui disais “Ahhhhhnnn, mets moi ta bite un peu plus haut”. On savait tous les deux comment se faire plaisir et on baisait dans tout l’appartement.

Interviewer: Alors, tu t’es entrainée aux pipes à ce moment là?

Yukari Sakurada: Non, je n’ai jamais suçé sa queue. Je ne l’ai pas fait avant mon troisième copain.

Interviewer: Oh, vraiment?

Yukari Sakurada: Mon premier et mon second copains n’étaient pas le genre à demander ouvertement ce qu’ils voulaient. J’était aussi trop génée pour suggérer cette idée moi-même. Je vivais avec mon troisième petit copain et une nuit, il m’a dit tout d’un coup “Lèche ma queue”. En premier, je pensais “Mais il parle de quoi, là?” mais...

Interviewer: Donc tu étais hésitante.

Yukari Sakurada: Oui. Enfin, à cette époque je ne savais même pas ce que c’était, une pipe.

Interviewer: Oh? La grande Yukari Sakurada ne savait pas comment tailler une pipe?

Yukari Sakurada: Je sais! N’importe, il a réussi à m’apprendre comment faire, et le copain que j’ai eu après lui m’a appris comment bouger mes mains, comment sucer sa queue, et comment masser ses coquilles proprement, et comment lécher le bout. J'ai aussi étudié par moi-mêm. J'étais office lady à cette époque, et j'ai demandé à d'autres filles avec qui je travailler comment tailler des pipes. Il y avait une fille plus jeune que moi mais qui avait beaucoup plus d'expérience que moi, elle a été mon professeur de sexe. Elle m'a dit des trucs du genre "lèche le bout de sa queue avec ta langue, et essaie de lécher la hampe dans un mouvement circulaire". C'est à peu près comme ça que je me suis améliorée pour les pipes.

Interviewer: et j’imagine que toutes ces etudes ont fini par payer...

Yukari Sakurada: Je n’étais pas habitué à faire ça, alors je doutais que cela soit agréable, mais je pense qu’ils aimaient le fait que j’ai la volonté et l’envie de le faire.

Interviewer: Quelle expérience sexuelle as-tu le plus appréciée?

Yukari Sakurada: Voyons voir. J’imagine que que c’était cette fois où mon copain et moi étions allongés sur le lit, sur le côté, avec sa bite dans ma chatte, et lui qui me lisait à voix haute des histories érotiques. Il s’enfonçait en moi de plus en plus fort au fur et à mesure que l’histoire devenait chaude. C’était vachement bon. Enfin, on était tous les deux prêts à jouir mais on devinait qu’il y avait une autre scène chaude dans l’histoire, alors on se reposait un peu,  et le cycle continuait jusqu’a ce qu’on soit tellement excités que nous avons joui ensemble. C’est une expérience étonnante.

Interviewer: Hmmmm. Je devine que c’est quelque chose que tu recommandes aux lecteurs.

Yukari Sakurada: Oui oui. S’il-te-plait. Allez-y, essayez vous-mêmes (rires).

Interviewer: Alors qu’est-il arrive à ton petit copain?

Yukari Sakurada: On a rompu quand j’ai decide de débuter dans ce business. On est sortis ensemble 3 ans mais je voulais donner à ce metier tout ce que j’avais et je ne pensais pas en être capable si j’étais engagée dans une relation. J’ai aussi quitté mes autres boulots. J’étais vraiment pauvre quand j’ai commencé ma route en tant qu’actrice porno. (rires)

Interviewer: Réellement? Tu étais sérieuse à ce point concernant ce travail?

Yukari Sakurada: Je n’ai pas énormément de compétences, donc je ne peux pas faire grand chose d’autre. C’est pourquoi je dois compter sur ma chatte pour tout. (rires)

Interviewer: Finalement, dis-moi ce que tu veux faire à partir de maintenant.

Yukari Sakurada: Oh, il y avait quelque chose que je voulais dire aux lecteurs avant ça.

Interviewer: Oh? Quoi?

Yukari Sakurada: Et bien, le fait est j’ai toujours pensé que le job d’une actrice était de vendre une image alors j’ai toujours écris de fausses choses sur mes profiles. Mais j’ai décidé de commencer à être vraie, mon vrai moi, à partir de 2003. Alors je ne vais plus rien cacher à mes fans. C’est quelque chose pour lequel j’ai le OK du bureau, alors ce sera comme ça dès maintenant.

Interviewer: Alors, avec quelles nouvelles viens-tu devant le public?

Yukari Sakurada: Le bureau m’a demandé la même chose exactement, et je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt.

Interviewer: Hein? Mais je suis sûr qu’il y avait des voix dissonantes.

Yukari Sakurada: Yeah...they were doing this all this time just so I wouldn't have to worry about it but it's not something I ever minded in the first place. Oui...ils faisaient ça pendant tout ce temps, alors je n’avais pas à m’inquiéter à ce propos, mais ce n’est quelque chose auquel j’aurais pensé dans un premier temps.

Interviewer: Je vois. Je devine que ‘lon peut compter sur toi pour être plus ouverte à partir de maintenant sur beaucoup de choses.

Yukari Sakurada: Oui, oui.

Interviewer: Alors, sur quoi nous as-tu menti?

Yukari Sakurada: Mon âge et mes mensurations sont correctes, mais pas mon anniversaire ni ma ville de naissance.

Interviewer: Oh, c’est ça? Je pensais qu’il y aurait plus. Tu sais, quelque chose que tu devais garder secret. Mais si c’est quelque chose de mineur comme ça, ce n’est pas grave de le garder secret?

Yukari Sakurada: Non, je me suis toujours sentie mal de mentir à ceux qui me soutenaient. Je ne veux pas mentir à mes fans. Et puis, tu ne penses pas qu’ils seront furieux contre moi de leur avoir menti tout ce temps?

Interviewer: J’en doute. Peut-être si tu avais dit “Je suis 10 ans plus vieille” ils t’en auraient voulu, mais juste sur ta date d’anniversaire? Je pense qu’ils apprécient que tu sois maintenant honnête à ce propos.

Yukari Sakurada: Vraiment? Je me sens beaucoup mieux. J’étais vraiment nerveuse de parler de ça, c’était dans mon esprit depuis les dernières semaines. Ca compte vraiment pour moi.

Interviewer: Oh, je ne pense pas que ce soit si important. Ne t’inquiètes pas.

Yukari Sakurada: Ok, yes! Merci beaucoup! (rires)

Interviewer: On dirait que je retombe amoureux de toi.

Yukari Sakurada: Oh, tout le monde a l’image d’une séductrice quand ils entendent mon nom, et ça ne me derange pas vraiment, mais j’espère qu’ils en sauront plus sur la vraie moi. Ca et le mot “sperme”, mais je veux qu’ils sachent que je prendrai un break sur ces tucs de sperme pour un temps. Il y aura encore deux vidéos sur ce thème, mais je prendrai un break toute cette année sur ce thème.

Interviewer: Et bien, laisse moi être le premier de la liste à te décharger sur le corps quand tu décideras d’en refaire à nouveau.

Yukari Sakurada: A la place, je boirai plutôt ton sperme. (rires)
































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