Nous avons demandé à Fuuka
quel était son rêve, elle nous a dit que c’était “être la star numéro un du
porno”. Elle a dit “Je n’ai jamais été prise dans quelque chose comme ça
avant”, nous montrant à quel point elle est à fond dans le porno. “Jje me donne
vraiment à fond quand on toune, alors le mec voit qu’il va jouir à coup sûr”.
Ca te ne te fait pas pleurer? Elle a l’état d’esprit pour donner tout ce
qu’elle a. Elle n’est pas seulement mignonne, elle est vraiment lascive. C’est
Sakurai Fuuka!
Interviewer: Toute savonneuse dans le bain, c’est que que
tu es sexy.
Fuuka Sakurai: Oh, vraiment?
Interviewer: Complètement sexy.
Fuuka Sakurai: Non... (laughs).
Interviewer: Tu as une poitrine énorme.
Fuuka Sakurai: J’ai perdu du
poids, alors ils ne sont pas aussi gros qu’ils en avaient l’habitude.
Interviewer: Ils étaient encore plus gros avant?
Fuuka Sakurai: Oui. Quand j’ai
commencé le porno, je faisais des branlettes espagnoles tout le temps.
Interviewer: C’est agréable aussi pour les filles?
Fuuka Sakurai: Ce n’est vraiment
génial à ce point. Mais je sens la dureté d’une bite, et parfois c’est
agréable.
Interviewer: Alors tes seins sont plutôt sensible?
Fuuka Sakurai: Oui, mes seins sont
très sensitifs quand on les stimuli. Quand tu as une grosse poitrine, ils sont
beaucoup stimulés pendant le sexe.
Interviewer: Combien d’hommes ont malaxé ta poitrine en
privé?
Fuuka Sakurai: Environ 10. Je ne
suis pas sûr de vraiment m’en souvenir.
Interviewer: Alors, beaucoup don’t tu te souviens.
Fuuka Sakurai: J’imagine que tu
peux le dire comme ça.
Interviewer: Je parie que tu aimes le sexe hard et cochon.
Fuuka Sakurai: Ce n’est pas une
question de hard ou soft, c’est l’amour. L’amour?
Interviewer:
Tu mouilles pour l’amour?
Fuuka Sakurai: Oh, toute juteuse!
Je lance de vrais jets. Je jouis partout. Mais en privé, je ne ressens rien si
il n’y a pas d’amour. Le porno, c’est different.
Interviewer: Si c’est du porno, il n’y a pas d’amour?
Fuuka Sakurai: Oh, dans le porno,
Fuuka aime tous les hommes avec qui elle va.
Interviewer: Tu aimes à ce point les acteurs.
Fuuka Sakurai: Tu pourrais dire
ça. Pourtant quand j’ai commencé ce travail, je n’aimais pas vraiment ça. Je
pensais que ce serait OK de juste le faire et après d’en finir. Mais un jour,
un acteur m’a dit “si tu veux être une Reine du porno – et pas seulement une
simple actrice – tu dois te donner à fond dans le sexe”. Ces mots ont résonné
dans mon Coeur. Gong! Je ne pensais pas du tout à ce que ressentaient les gars
qui regardent les films. C’était juste du boulot. Après ça tout a été
different. J’y avais à fond dans le sexe hard pour être sûre que les mecs
regardent. J’aime les hommes avec qui je tourne pour cette raison.
"Je suis toute mouillée quand on tourne des scènes de
viol"
Interviewer: Tu es forte d’esprit.
Fuuka Sakurai: Parce que j’aime le
porno. Je suis fière de mon travail. Si je n’étais pas fière d’être une actrice
prono, je ne serais pas arrivée aussi loin.
Interviewer:
Pourquoi ça?
Fuuka Sakurai: Mes amies chez moi
ont découvert ce que je faisais. Je pense que c’est à cause de ma photo dans un
grand magazine masculine. De vieux camarades de classe ont appelé pour me dire
des choses affreuses. “Tu es tombée bien bas” et “Tue s une femme sale.
Pourquoi tu ne nous laisse pas te prendre aussi.” Et “Tue s source d’embarras
pour la ville. Ne reviens jamais ici.”. C’est juste au moment où j’avais décidé
de faire carrière en dehors du porno. Alors peut-être les horribles choses
qu’ils m’ont dites, j’ai juré de continuer. Je ne sais pas ce qui serait arrivé
si c’était juste au moment où je débutais. Le choc m’aurait peut-être conduit
en dehors de ce business.
Interviewer: N’arrête pas pour un truc comme ça!
Fuuka Sakurai: Oui, je suis
heureuse maintenant ne pas avoir arrêté.
S’ils me disaient ça maintenant, j’aurais assez confiance en moi pour
leur répondre. “Ne me parlez pas comme ça. Vous avez étudié avec l’argent de
vos parents, et maintenant vous glandez”.
Interviewer: Les gens qui ont des apriori contre le porno
sont pour la plupart jaloux de ceux qui sont dans ce business.
Fuuka Sakurai: C’est exact! Ils
voudraient en faire, mais sont trop genes pour ça. Ils sont seulement frustrés
sexuellement.
Interviewer:
Oui!
Fuuka Sakurai: Mais j’ai à la fois
le sexe et la vie du porno. Je m’amuse toujours. Parfois, ça me plait trop et
je déconne.
Interviewer:
Comment ça?
Fuuka Sakurai: Pendant le tournage
d’une scène de viol. Au début, tu dois jouer comme sit u ne voulais pas, et tu
dois résister, n’est-ce pas? Mais j’aime tellement que pendant que je crie j’ai
une expression de joie sur le visage. “Stop!”
Interviewer: You like rape? Tu aimes le viol?
Fuuka Sakurai: Pas un vrai viol.
J’aime seulement le faire dans un film. Je muille très facilement. Il suffit de
me forcer à me baisser, et j’ai une tâche mouillée sur ma culotte.
Interviewer: Et à propos des fellations forcées?
Fuuka Sakurai: J’aime ça aussi. Tu
sais, je suis plutôt une bonne suceuse.
Interviewer:
Comment t’y prends-tu?
Fuuka Sakurai: Essentiellement, je
lèche derrière. Puis pendant que je touché doucement les coquilles avec mon
doigt, ma langue monte et descend la queue. Après, avec le bout de ma langue,
je vais vers la tête, où il y a le meat. Ils jouissent tous assez vite quand je
fais ça.
“Si c’est un acteur
que j’apprécie qui me prend, j’oublie que je travaille et je ne fais que jouir,
et jouir”
Interviewer: Dis-moi, quand a eu lieu ta première fois?
Fuuka Sakurai: J’avais 16 ans. Un
type qui s’appelait Aoki, dans un Love Hôtel. Tu peux imprimer son nom! C’est
Kenji Aoki. Il m’ laissé payer l’hôtel. “Je te rembourserai plus tard”, m’a-t-il dit. Il ne l’a jamais fait. Quel con!
Interviewer: Comment l’a tu rencontré, cet Aoki?
Fuuka Sakurai: C’était un ami d’un
ami. On s’est parlé quelque fois au telephone. On a eu quelques conversations
chaudes. Je lui aid t, hé, j’ai déjà 16 ans. Autant le faire rapidement.
Interviewer: Alors, au lit, il était comment ce Aoki?
Fuuka Sakurai: Je ne m’en souviens
pas vraiment. Probablement pas terrible. Mais je me souviens qu’un acteur avec
le même nom était super doué.
Interviewer: Tue s attirée par les Aoki.
Fuuka Sakurai: Oui. Oh, mais
l’acteur Aoki était tellement bon. On était bien ensemble alors je l’ai demandé
pour le film d’après. C’était un film où l’acteur tient la camera, alors on
pouvait vraiment baiser comme on voulait. Il m’a vraiment donné du plaisir.
J’ai pu dépasser mon complexe avec les Aoki.
Interviewer: Alors tu aimes les films avec caméra à la
main?
Fuuka Sakurai: Oui. Comme ça je
peux être seule avec l’acteur. Je suis détendue, et mon corps est comme en feu.
Je regarde le film terminé et je vois que je suis plus dans le coup que sur les
autres films.
Interviewer: Tu regardes tes propres vidéos?
Fuuka Sakurai: Tu dois savoir que
j’ai regardé tous mes films. Je pense toujours que j’ai fait du mauvais boulot,
alors j’appelle le studio pour m’excuser. Je leur dit “J’essairai de faire
encore plus la prochaine fois”.
Interviewer: Tu es vraiment à fond.
Fuuka Sakurai: Jusqu’à maintenant,
il n’y a rien pour lequel j’ai travaillé aussi dur. Je sens que je pourrais
faire carrière en dehors du porno.
Interviewer: Pourquoi es-tu arrivée dans le porno au
début?
Fuuka Sakurai: La chance est
arrivée quand j’ai été scoutée. Mais mes motivations étaient différentes.
Interviewer:
C’était quoi?
Fuuka Sakurai: Je voulais trouver
ma propre place. Laisser quelque chose qui prouve que j’ai vécu. Dans une
vidéo, je laisse mon image et ma voix...
Interviewer: Tu n’avais pas ta propre place avant?
Fuuka Sakurai: J’avais le
sentiment de ne pas avoir ma propre place parce que, à cette époque, j’étais
avec ma mère. Ma famille est plutôt dysfonctionnelle. C’est peut-être la raison
pour laquelle je ne me suis attaché à rien depuis ma petite enfance.
Interviewer:
Tu étais solitaire?
Fuuka Sakurai: Probablement. Mais
je ne voulais que les gens autour de moi le pensent. Alors je prétendais être
aussi normale que les autres. Je ne vivais pas. Quoique je fasse, je ne
m’amusais pas. Je pensais, “Pourquoi suis-je née?”, et “La vie n’a pas de
sens”. J’ai même pensé au suicide. Jusqu’au lycée, je pensais que le mieux
était d’être avec les autres. Mais je ne m’en sentais pas en faire partie. Et
ce sentiment se répétait tout le temps.
Interviewer:
Have you found your place now? As-tu trouvé ta place maintenant?
Fuuka Sakurai: Oui. Je me sens
très différente par rapport à avant. Ais je cherche toujours un petit ami qui
pourrait me soutenir quand ça ne va pas.
Interviewer: Quel type de gars aimes-tu?
Fuuka Sakurai: Quelqu’un de plus
de trente ans. Un type qui n’a pas abandonné ses rêves. Si il y a quelq’un
comme ça dans les alentours, s’il vous plait, devenez mon petit ami. J’aimes les hommes
gentils.
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